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Le Pirate - Walter Scott

Scott pirate
 
Le Pirate - Walter Scott
 
Ce livre comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mis en page pour une lecture sur liseuse électronique.
 
Walter Scott (1771 - 1832) est un poète et écrivain écossais. Il est également l'une des plus illustres figures du romantisme britannique. Père du roman historique, il a contribué à forger une image romantique de l'Écosse et de son histoire.
 
Le Pirate est un roman de Walter Scott paru en 1821, dans la série des Waverley Novels. Il se propose de faire découvrir au lecteur les mœurs, les coutumes et les superstitions qui étaient celles des Shetlandais à la fin du XVIIe siècle, c’est-à-dire avant que les Écossais n’imposent les leurs.
 
Résumé :
 
Sur le promontoire désolé de Sumburgh, près du hameau d'Iarlshof, le mystérieux Basile Mertoun et son fils Mordaunt vivent en location, depuis trois ou quatre ans, dans un « château » délabré appartenant au vieux Magnus Troil.
 
Durant les « heures sombres » de son père, Mordaunt fait de longues escapades sur la mer et dans l’île. Il profite notamment de l’hospitalité de leur propriétaire, qui vit une vingtaine de miles plus au nord, dans son château de Burgh-Westra. Magnus Troil a deux filles, la brune et grave Minna et l’enjouée Brenda, desquelles Mordaunt est très proche, mais entre lesquelles il n’a pas fait son choix.
 
Dédaignant les recommandations des Shetlandais (ne jamais porter secours aux naufragés, ils n’attirent que des ennuis), Mordaunt, un lendemain de tempête, sauve un marin de la noyade. Ce Clément Cleveland, individu déplaisant, est recueilli chez Magnus Troil. Et Mordaunt reste plusieurs semaines sans la moindre nouvelle de Burgh-Westra...
 
Extrait :
 
La tempête a cessé son rugissement d’hiver ; les flots de la mer se heurtent sourdement. Mais quelle voix s’écrie sur la côte déserte de Thulé : Ai-je brûlé ma harpe pour toi ?
Macniel.
 
L’île étroite, longue et irrégulière, nommée vulgairement le continent des Shetland, parce qu’elle est de beaucoup la plus vaste des îles de cet archipel, se termine au sud-est par un roc escarpé d’une hauteur immense, comme le savent trop bien les marins qui ont navigué dans les mers orageuses du Thulé des anciens. Ce rocher, appelé Sumburgh-Head, présente sa tête nue et ses flancs dépouillés aux assauts d’un courant terrible. C’est comme une marée incessante de lames furieuses, qui prenant son point de départ entre les Orcades et les Shetland, se précipite avec une force à peine inférieure à celle du Frith de Pentland. On l’appelle, d’après le nom du cap lui-même, le Roost de Sumburgh ; roost étant le terme dont on se sert dans ces îles pour désigner les courants de cette espèce.
 
Du côté de la terre, le promontoire, revêtu d’une herbe courte et serrée, descend rapidement jusqu’à un petit isthme sur les flancs duquel la mer a creusé deux golfes qui, gagnant chaque jour du terrain, semblent devoir bientôt se rejoindre et isoler complètement le Sumburgh-Head...
 
 
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Prix PDF : 1,99 €
 
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